• Aimez-vous l’un l’autre, mais faites en sorte que l’amour ne soit pas une entrave, qu’il soit plutôt comme une mer mouvante entre le rivage de vos âmes.
• Emplissez chacun la coupe de l’autre, mais ne buvez pas une seule coupe.
• Chantez, dansez ensemble et soyez heureux. Mais demeurez vous mêmes, de même que les cordes d’un luth sont seules, cependant qu’elles vibrent de la même harmonie.
• Tenez-vous ensemble, mais pas trop proches non plus, car les piliers du temple s’érigent à distance, et le chêne et le cyprès ne croissent pas à l’ombre l’un de l’autre.
• Ce que l’on n’a point assez dit, c’est que c’est un devoir aussi envers les autres que d’être heureux. - Veillez à ce que les vôtres soient heureux et trouvez y votre bonheur.
- Ecoutez toujours la voix de votre conscience et soyez contents partout, de tout et avec tous, si l’honneur n’y est pas contraire.
- Ne vous enorgueillissez jamais de votre état. Songez que ce n’est pas la fonction que vous exercez qui vous honore ou vous dégrade mais la façon dont vous la remplissez.
- Au foyer domestique, veillez à ce que vous soyez égaux.
- Quand vous serez parents, comprenez l’importance de votre mission : tendresse n’est pas faiblesse ; amour n’est pas aveuglement ; comprendre n’est pas abdiquer.
- Dans votre action comme éducateurs, usez de persuasion et, sil le faut, d’autorité. Mais donnez toujours l’exemple car c’est la meilleure façon de convaincre.
- Soyez tous deux pour vos enfants des protecteurs fidèles, des parents compréhensifs qui lui soient un refuge. - Faites en un honnête homme plutôt qu’un homme habile.
- Ne confondez point l’amour avec le délire de la possession, lequel apporte les pires souffrances. Car au contraire de l’opinion commune, l’amour ne fait pas souffrir.
- L’humilité n’exige point que l’on s’humilie mais que l’on s’ouvre. C’est là la clef des échanges. Alors seulement on peut donner et recevoir. - Faites en sorte que les situations pénibles deviennent une source de force pour les accepter d’abord puis pour progresser dans l’existence.
- En tout être, en ton conjoint, en tes enfants, respecte toujours la dignité de la personne à qui tu t’adresses • Vous vous aimez ... et en ce jour qui voit votre union, votre joie est profonde.
• Que cette joie demeure ! Pour cela, soyez vigilants partout et toujours.
• Quels que soient les événements qui vous attendent, dites-vous bien que ce ne sont pas eux les maîtres
de votre destin ; ils l’influencent mais si vous le voulez, ils n’en décideront pas définitivement.
• Chaque homme, chaque femme est l’artisan de son bonheur.
• Soit content si les tiens sont heureux.
• L’amitié, je la reconnais à ce qu’elle peut être déçue, et je reconnais l’amour véritable à ce qu’il ne peut être lésé.
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