lundi 5 mars 2012

Croire ou mourir

Dans notre contexte à cause des lois spirituelles, l’homme d’une manière générale est rattaché à un conflit intense entre la foi c’est-à-dire son acceptation à Christ et l’incrédulité qui veut dire le rejet de Christ.

Cette réalité est traduite dans le livre de Jean 3 : 36. Celui qui croit au Fils a la vie éternelle. Celui qui ne croit pas au Fils ne verra point la vie, mais la colère de Dieu demeure sur lui. 

Jésus lui-même déclare dans Jean 8 : 24. C'est pourquoi je vous ai dit que vous mourrez dans vos péchés; car si vous ne croyez pas ce que je suis, vous mourrez dans vos péchés.
 Frère Marcel Porthos


Finalement à l'analyse de ces versets il n'y que deux alternatives : 

1. Croire en Jésus-Christ, cela veut dire saisir les promesses de Dieu par la foi, pour faire que Christ passe avant toute relation humaine en renonçant à notre volonté propre et en nous soumettons à Dieu en abandonnant tous nos droits. Pour une vie harmonieuse basée sur une relation parfaite avec Dieu.

2. Mourir dans nos péchés, dans une séparation avec Dieu et connaître une existence sous la condamnation qui pèse sur le péché, qui nous conduira de la tristesse à la mort pour recevoir en fin de vie terrestre, la couronne de la perdition pour passer la grande porte marquée : Condamné à périr… C’est-à-dire recevoir son passeport pour l’enfer.

Hélas ! Mes amis l’enfer est un endroit réel d’où  on ne peut s’échapper. Et celui qui y est, reste conscient et son tourment est éternel. 

Il se trouve qu’après avoir été enfant de lumière avec le privilège de connaître Christ. Souvent nous sommes confrontés et influencés par les subtilités et les ruses les plus efficaces et les plus fascinantes de Satan, pour nous faire céder à la tentation. Et tout cela nous empêche de croître vers la maturité parce que la Parole de Dieu en nous est étouffée par des besoins de curiosité émotionnelle et physique, par les soucis de la vie, la tromperie des richesses et des désirs vers autres choses que Christ.

C’est ainsi donc ! Que les épreuves s’accumulent autour de nous avec des tentations alléchantes et pernicieuses pour nous pousser à rétrograder et revenir à ce que nous avons vomis.

Mais grâces soient rendues à celui qui est et qui demeure au-dessus de tout ce que nous pouvons endurer ! Le Seigneur des armées... Le Dieu de toutes grâces, de toute consolation et de toute bonté dont la miséricorde dure à toujours. Qui à tout moment est prêt à pardonner un enfant égaré qui vient ou qui revient à Lui par les sentiers de la repentance... Gloire à son Saint nom ! 

Mes amis ! La repentance fait partie de la foi et elle est nécessaire au salut.

La déclaration par laquelle Jésus dit dans Jean 14 : 6. Je suis le chemin, la vérité, et la vie. Nul ne vient au Père que par moi. Renferme une clé tenue secrète qui permet de recevoir en témoignage de notre foi, la puissance du message de l’Evangile de Christ, qui révèle que pour nous : Christ a souffert et qu’il est mort et est ressuscité.

Celui qui vient ou qui revient à Christ, pourra expérimenter cette puissance en exerçant sa foi dans la dimension d’une reconversion digne d’un cœur qui a soif  de L’Eternel Dieu ! C’est ainsi que celui qui revient parce qu’il était déjà là ou qui vient par qu’il est aussi prédestiné, doit s’en tenir attelé à cet engagement : Par Christ le chemin, je me repens par l’abandon de ma vie de péchés… Pour renouer avec Christ qui est la vérité de Dieu et revivre par Christ pour le pardon de tous mes péchés… Afin d’être amené à Dieu et connaître un état de grâce, pour demeurer dans une autre dimension de vie, la vie de résurrection et de bonheur parfait en Jésus-Christ…

Mes amis ! C’est pourquoi après la repentance. Tous nous devons rechercher une bonne condition de vie spirituelle par un temps de méditation de la Parole de Dieu, des temps de rafraîchissement par une mise à l’écart et du temps dans la prière. Pour mieux activer notre confiance en Christ et assurer notre appartenance à la filiale de Dieu.

Que Dieu nous aide à refléter la piété dans notre façon d’être et d’agir ! Amen !


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